De nos jours, tout le monde s’accorde à dire que la protection de l’environnement est un sujet « à la mode » ! De la même manière, la sacro-sainte automobile est devenu un véritable mode de vie auquel on a pu vouer un culte un peu crétin pendant des décennies, votre serviteur plaidant coupable en premier.
Mais avec la transition énergétique qui est en cours et surtout la prise de conscience qu’un monde meilleur doit voir le jour, les villes et leur empreinte écologique font face à une urbanisation galopante, et doivent en même temps garder toute attractivité.
Les activités humaines urbaines et périurbaines nécessitent donc, pour leur survie, que les flux de personnes se déplaçant en ville doivent être plus fluides mais surtout s’exécuter de manière plus durable ; et allant de pair avec une diminution de la consommation des énergies fossiles dont on sait que les réserves ne sont pas inépuisables et sources d’appauvrissement écologique.
Mais alors on se pose une question légitime : comment rendre les déplacements en ville plus écologiques et plus durables ? Nous verrons que, par analogie ou extension, la question se pose plus globalement à l’échelle du territoire, à la ville mais aussi à la campagne.
Voyons ensemble quelques pistes.